L’autoconsommation solaire des commerces et des industries (C&I) est en pleine croissance en France. Exposées à une forte augmentation des prix de l’électricité ainsi qu’à leur volatilité, les entreprises se tournent massivement vers des solutions énergétiques capables d’assurer un approvisionnement électrique peu cher, un investissement rentable et des projections de modèle d’affaires à 20 ans. Les premières obligations réglementaires de solarisation sont entrées en vigueur cette année pour les bâtiments neufs de plus de 500 mètres carrés et s’appliqueront à partir de janvier 2028 à tous les bâtiments existants.
Le stockage intéresse de manière croissante les entreprises afin d’augmenter leur taux d’autoconsommation, qui plafonne aujourd’hui autour des 30 %. Bien piloté, il permet aussi de faire des arbitrages en fonction du prix de l’énergie. Il pourrait même être exploité comme un outil de flexibilité réseau au service des gestionnaires. Le stockage est devenu un investissement d’autant plus envisagé que le prix des batteries est en net recul. Plusieurs questions persistent et la sécurité de ces systèmes reste un enjeu central à la prise de décision d’investissement, tout comme la garantie de la performance et les modèles d’affaires rattachés.
Pour répondre à ces enjeux, Huawei France a lancé une nouvelle solution de stockage destiné aux systèmes solaires en autoconsommation C&I. La batterie Luna2000 215kWh s’adresse à des projets de 100kWh à 4 MWh et repose sur une technologie de batterie à refroidissement liquide. Il est calibré pour s’intégrer à des opérations d’autoconsommation C&I classiques mais peut aussi être intégré dans une offre de services réseaux afin d’accélérer le retour sur investissement.
Nous entendrons Léo Piasentin, responsable des solutions au bureau de Huawei en France, spécialisé dans les onduleurs et le stockage d’énergie C&I. Martin Trouillet, directeur commercial de Storio Energy, nous donnera des détails sur le cas d’utilisation.
Points-clés du webinaire :
Des questions peuvent être posées en amont ou pendant le webinaire via une fenêtre de discussion. Marie Beyer, journaliste correspondante de pv magazine en France, modèrera les échanges.
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